Cela fait partie de ma lettre de mission. Il s'agit d'ailleurs là d'une véritable préoccupation du Président de la République. Je ne souhaite pas déjuger la qualité des pratiques actuelles, mais les manques sont trop nombreux aujourd'hui. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) nous a condamnés en ce qui concerne le décès d'une petite fille. Il nous faut stabiliser notre positionnement institutionnel, au niveau de l'État et sur le terrain.