Je pense que la crise peut constituer, malgré tout, une « aubaine » pour enfoncer des portes qui n'ont jamais réussi à s'ouvrir auparavant. Il est possible de brandir la peur liée à la santé qui fait fonctionner notre société en se demandant effectivement si l'école, les jeux vidéo et les parents suffisent pour faire des adultes équilibrés et sains de corps et d'esprit. Sommes-nous tous collectivement à la hauteur ? Avons-nous tous fait le nécessaire entre les deux confinements, collectivement et à l'unisson, pour porter cette parole et que le message parvienne à nos ministres ?
Pour apporter une note plus positive, je précise que l'administration est ébranlée et je l'ai constaté par rapport aux associations. Elle a une autre écoute qu'auparavant. Certains éléments remontent et les bénévoles commencent à obtenir une certaine reconnaissance. Nous, les élus, devons intercéder dans ce sens.