Comme vous l'avez dit, madame la présidente, nous nous connaissons bien et j'ai souvent l'occasion de travailler avec Marie Dupuis-Courtes et Angeline Barth.
Lorsque Marie Dupuis-Courtes évoque la possibilité de décaler à la deuxième année la partie pratique de l'apprentissage, ce n'est pas forcément pour obtenir des aides supplémentaires. Il s'agit de répartir différemment les phases de formation.
En période de crise, on est plus flexible mais on est aussi plus créatif, de sorte que des choses qu'on croyait impossibles se réalisent. La crise peut donc être un accélérateur ; il faut insister sur cet aspect positif.