Concernant les contrats stockés, dans le cadre de la bascule d'une première à une deuxième année, nous n'avons pas observé de remontée massive de la part de nos 500 adhérents. Nous l'avons craint à un moment, et le positionnement de la FNADIR consiste à ne pas engager les entreprises vers cet opportunisme. Les aides de 5 000 et 8 000 euros ont sauvé la rentrée. Nous nous demandons si les nouveaux entrants, qu'il s'agisse d'entreprises ou d'apprentis, continueront dans la voie de l'apprentissage. Nous nous donnons l'ambition de tout mettre en œuvre pour les conserver, mais peut-être conviendrait-il de réfléchir à une dégressivité de l'aide.