Je ne conteste pas le choix de liberté de certains éditeurs mais leur volonté de ne pas assumer leurs responsabilités passées. Il s'agit là de grands groupes de presse et non de petits éditeurs indépendants.
Le financement promis par l'État portera sur les aspects sociaux de la restructuration et le démarrage de la nouvelle structure.
Les créances des éditeurs s'élevaient à 118 millions d'euros à fin avril. Compte tenu de la liquidation, elles sont totalement perdues.