Les éditeurs indépendants ont subi tous les aléas liés à la gestion déficiente de Presstalis alors qu'ils n'y ont jamais été associés, avec des variations de barèmes toujours plus lourdes et des retards de paiement allant jusqu'à 180 jours pour les trimestriels. Si leurs recettes ne leur sont pas versées, nombre de titres risquent de disparaître à court ou moyen terme. L'enjeu n'est pas seulement sectoriel, mais démocratique. Où en sont vos échanges avec l'État concernant le paiement de ces créances ?