Les systèmes où les clients sont les actionnaires sont très compliqués à gérer, surtout dans la presse. Je ne renie pas mes propos dans Le Monde. Grâce à des éditeurs courageux, nous sommes capables de mettre en place une solution alternative et dégradée. Si certains grands éditeurs de presse avaient joué le jeu, nous n'aurions pas perdu trois mois en discussions vaines et infructueuses.