Les invendus sont d'abord liés aux difficultés de réglage auprès des 23 000 points de vente, sachant qu'ils augmentent avec la durée de parution. Ensuite, la publicité est souvent calculée sur le nombre de titres imprimés ou diffusés et encourage donc à l'impression. Le recyclage du vieux papier est important, mais nous avons été heurtés de plein fouet par la chute du cours. Le coût de traitement et de ramassage devient prohibitif. Nous sommes donc partisans de la réduction du volume d'invendus.