A la suite de votre redressement judiciaire, les MLP ont mis en place un plan d'accueil pour les éditeurs et la distribution de leurs titres, ce qui fonctionne.
Le Syndicat de l'association des éditeurs de presse (SAEP) relève qu'il serait illicite au regard du Code de commerce de laisser la Coopérative de distribution des quotidiens (CDQ), gérante de fait de la faillite de Presstalis, reprendre ses actifs au détriment de ce créancier.