Bien sûr, et je peux vous y répondre. C'est la différence, sans doute, entre une opposition systématique et une opposition constructive.
Quant à France Ô, le problème n'est pas celui de la rentabilité mais de la rencontre avec le public ultramarin, auquel nous sommes très attachés. Je travaille avec M. Sébastien Lecornu pour que le public ultramarin se retrouve dans le service public et que les téléspectateurs et les auditeurs du service public reconnaisse la France ultramarine dans toutes ses spécificités et sa diversité.
Il est temps pour moi de vous quitter car je ne souhaite pas rejoindre le club de M. Toubon.