Il ne s'agit en aucun cas d'utiliser les plafonds d'emplois actuels. Je rappelle que nous prévoyons par ailleurs la création de 5 200 emplois sous plafond État. S'agissant de l'étude d'impact, il est très difficile de savoir à quel rythme les établissements s'empareront de cet outil, dans la mesure où ils n'ont aucune obligation à le faire. C'est l'objet de la clause de rendez‑vous que nous avons prévue dans trois ans. Nous saurons alors si cette voie a connu un succès ou s'il faut retravailler le dispositif. Il me paraît toutefois important que cet outil soit offert à la communauté.