Je comprends la logique de vos propos, madame la ministre, mais un petit problème se pose néanmoins : d'un côté, vous incitez les établissements à accroître leur autonomie et, de l'autre, vous semblez vous orienter vers un décret fléchant une partie du préciput vers les laboratoires. Est-ce bien le cas ? Ne conviendrait-il pas de laisser le système respirer davantage en faisant en sorte que les universités, autonomes, décident de leur politique scientifique, comme c'était autrefois le cas avec le principe de financement BQR – Bonus qualité recherche ?