Au-delà des chiffres extrêmement faibles, qui pourraient s'expliquer notamment par des difficultés économiques, nous souhaitons identifier les obstacles expliquant leur niveau et savoir si un dispositif spécifique au monde associatif et aux collectivités ne permettrait pas de les faire décoller. Le but n'est pas tant d'en augmenter le nombre que d'évoluer vers une véritable appropriation citoyenne et démocratique de la science et de la technique, de sorte à réduire la défiance qu'elles peuvent susciter, que l'on constate à la faveur de la crise pandémique.
Peut-être existe-t-il d'autres obstacles à lever, que le rapport permettrait d'identifier ?