Ces écoles ont été prises en compte lorsqu'elles se sont associées à des consortiums d'écoles publiques, notamment dans le cadre de réponses à des appels à projets.
Leurs modèles économiques et de financement sont toutefois totalement différents puisqu'elles font payer des droits d'inscription, souvent assez élevés. Elles ont de plus anticipé la mise en place de cours à distance car une grande partie de leurs étudiants sont étrangers et ces derniers n'ont pas pu se déplacer.
Encore une fois, lorsque les enseignements, au sein de ces écoles, sont préparés de façon collégiale avec des établissements publics et mis gratuitement à la disposition de l'ensemble des étudiants, elles sont éligibles à des financements. Elles sont nombreuses à être associées notamment à des établissements expérimentaux depuis l'ordonnance de 2018.
Disons-le également, dans ces écoles, l'offre de formation est caractérisée, sinon, elles n'ont aucune valeur ajoutée à communiquer pour leur propre compte.