À ce titre, sa première responsabilité est de répondre devant le Parlement, qu'il soit en fonction ou qu'il n'y soit plus, ainsi que l'a prouvé l'audition de MM. Sapin et Eckert par la commission des finances. Le président de la commission des finances aurait d'ailleurs pu aller plus loin : si les intéressés avaient refusé de s'exprimer devant la commission, il aurait pu requérir la force publique.