Je m'exprimerai au nom du groupe du Mouvement démocrate et démocrates apparentés. Le taux d'échec en première année de faculté, habituellement élevé, risque de l'être plus encore cette année en raison de l'arrivée de jeunes qui n'ont pas l'expérience des épreuves finales du baccalauréat et qui, du fait des cours en distanciel, ont parfois décroché très vite, avant même les examens partiels. D'autres ont déjà raté leurs premiers partiels. Quels dispositifs sont instaurés pour les aider à se réorienter au plus vite ? Faut-il les inciter à finir une année blanche par le service national universel (SNU) ou par un autre dispositif capable de les aider à se projeter vers un horizon différent ? Que vont-ils faire de février à juin ?