Comme indiqué dans le rapport de la commission d'enquête de Marie-George Buffet et Sandrine Mörch, à la détresse financière des étudiants, qui est très grande et à laquelle vous ne répondez pas, et à leur détresse psychologique, qui ne bénéficie pas non plus d'une réponse suffisante, s'ajoute l'aspect physique : les conséquences de la sédentarité sur la santé, la diminution de l'activité et l'exposition accrue aux écrans, les troubles de l'alimentation et du sommeil associés. Des étudiants veulent plus de présence dans leur établissement et plus de vie sociale, mais, depuis un an, vous ne leur avez pas répondu. Alors que des étudiants en STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) et des services universitaires des activités physiques et sportives (SUAPS) sont disponibles, rien n'est organisé pour l'activité physique. Qu'entendez-vous faire en la matière ?