Le mal-être persistant des étudiants pendant la crise sanitaire se traduit de façon polymorphe. On constate des phénomènes de solitude, de dépression, de décrochage et un record de copies blanches. Malgré certaines annonces, la santé mentale des étudiants reste préoccupante. Quel système d'évaluation comptez-vous instaurer pour en mesurer l'évolution, en dehors des études de l'Observatoire national de la vie étudiante ?
La précarité financière des étudiants, accrue par la fin des petits jobs, les conduit parfois à des recours extrêmes tels que la prostitution. Comment préserver les emplois des étudiants ?
Enfin, compte tenu des incertitudes qui pèsent sur la situation de leurs parents, certains étudiants renoncent à leur projet, notamment quand il s'agit d'entrer dans une école de commerce. Comment les aider pour leur éviter de renoncer à leur projet d'orientation au nom de raisons financières ?