L'année 2020 était une année de réforme des études de santé. J'ai été sollicité, en tant que député des Alpes-Maritimes, par un collectif représentant les étudiants PASS et LAS (parcours accès santé spécifique et licence option accès santé) de l'université Nice-Côte d'Azur. Cette réforme ambitieuse suscite en effet des inquiétudes de la part des jeunes étudiants en médecine. Cette année exceptionnelle est celle de la cohabitation entre l'ancien et le nouveau système. Alors que la réforme a pour objectif d'augmenter le nombre de médecins formés en France, dans l'attente des arbitrages en cours au sein de votre ministère pour la détermination du numerus apertus, quelles garanties pouvons-nous apporter aux étudiants de première année pour assurer l'équité entre les étudiants de la promotion PASS/LAS et les étudiants redoublants, mais également pour les promotions passées et futures ?