Ce qui sous-tend les COM, c'est l'adéquation entre une trajectoire financière – donc des moyens – et les missions de service public en regard. Les négociations que nous menons avec l'État portent sur cette adéquation, et c'est sur cet aspect que nous souhaitons concentrer la lisibilité des COM.
À propos des indicateurs, je rappelle que nos médias sont spécifiques. La mesure de l'audience des radios et de l'audio est différente de celle des télévisions et des vidéos, ce qui justifie que l'institut Médiamétrie mesure ces audiences selon des procédures distinctes. Les possibilités de rapprochement de certains indicateurs sont limitées de fait par la nature de nos activités.
Nous avons tous des cahiers des missions et des charges très remplis et dont l'exécution fait l'objet d'un rapport annuel. Nous avons aussi des objectifs éditoriaux portant sur les commandes d'œuvres et le nombre d'heures d'offre culturelle, qui nous permettent de mettre en valeur la spécificité de nos missions et de nos contenus.