Monsieur le ministre, je rappelle que, voici un an, vous avez décidé à juste titre de ne fermer aucune classe des écoles primaires de France. Cette année, à l'heure de l'établissement des cartes scolaires et des décisions des Conseils départementaux de l'Éducation nationale (CDEN), un certain nombre d'ouvertures et de fermetures de classes a été acté.
Dans ma circonscription, je constate également un petit nombre de fermetures qui m'interpelle et qui provoque une forte mobilisation des parents d'élèves. Or une différence notoire apparaît entre les chiffres retenus par les services de l'Éducation nationale et les réalités constatées dans les écoles, notamment au regard des inscriptions enregistrées par les mairies.
Dans la période anxiogène que nous traversons, comment est-il prévu de corriger ces situations nécessairement incomprises par nos concitoyens d'ici la fin d'année scolaire, afin que la sérénité constitue le maître-mot de la rentrée scolaire de 2021-2022 ?