J'abonde moi aussi dans le sens de notre rapporteur : il faut qu'un accord soit trouvé entre les communes de résidence et les communes où des écoles privées proposent l'enseignement de la langue régionale. Le même problème existait, il y a fort longtemps, entre les écoles publiques elles-mêmes. Désormais, c'est une question de solidarité. D'ailleurs, les associations de maires se saisissent du problème.
Il convient de faire en sorte que n'importe quelle commune puisse ouvrir des sections d'enseignement en langue régionale. Le dispositif incitera peut-être certains conseils municipaux à prendre les bonnes décisions dans ce sens, même si, évidemment, se pose aussi la question de la formation des enseignants.