J'aimerais croire à votre bonne foi et à votre envie de répondre aux situations dramatiques des étudiants précaires dans les zones blanches. Mais, alors qu'un vote conforme de la proposition de loi adoptée par le Sénat permettrait l'application d'un dispositif qui constitue une partie de la solution pour les zones blanches, vous défendez des amendements. Je vous renvoie à vos responsabilités : abandonnez votre posture politique ou vous aurez à l'assumer devant les étudiants.
Quant à l'amendement demandant un rapport, nous y sommes défavorables.