Madame la secrétaire d'État, l'aide apportée par l'État à la filière du sport pendant la crise sanitaire est évaluée à 7,1 milliards d'euros. Si cette aide fut salutaire pour le secteur sportif, l'après-crise doit être préparé. Le rapporteur pour avis juge que les effets durables de la crise sont loin d'être résorbés. Notamment dans les territoires ruraux comme mon beau département de la Somme, les clubs sportifs font face à d'importantes difficultés de recrutement de bénévoles depuis le début de l'épidémie. Une baisse importante des nouvelles recrues s'ajoute au départ en retraite des bénévoles plus âgés. Comment allez-vous prendre en compte cette baisse du nombre de bénévoles ?