S'agissant de la médecine scolaire, on peut comprendre à la fois vos arguments, madame la rapporteure pour avis, et ceux des auteurs des amendements. Il est vrai que 30 % des postes de médecin scolaire ne sont pas pourvus et qu'il n'y a qu'une infirmière pour 2 300 élèves. Or on sait le rôle important que joue la médecine scolaire, dans un contexte parfois difficile. À cet égard, l'amendement d'appel II-AC49 de Mme Descamps me semble intéressant : il faut inciter le ministère à recruter des médecins et à faire en sorte que la profession soit attractive.