Nous demandons la suppression de l'ANR et la redistribution de ses fonds sous la forme de crédits récurrents pour les équipes de recherche. Les grands équipements seront financés par d'autres programmes.
Les appels à projets sont en effet chronophages. Ils ne profitent qu'à 16 % des établissements et limitent les thématiques suivies ainsi que la liberté des chercheurs.