Cet amendement réécrit une grande partie de l'article 3. En lisant dans celui-ci qu'il faut « associe[r] autant que nécessaire les médecins, les infirmiers et psychologues scolaires et assistants sociaux », on ne peut pas ne pas penser aux lacunes de la médecine scolaire constatées par l'Académie nationale de médecine et rappelées dans l'exposé des motifs de la proposition de loi. Pour que l'article soit opérant, il faudrait une augmentation significative du nombre de personnels médicaux affectés dans les écoles, comme l'ont dit plusieurs collègues au cours de la discussion générale.
Il est par ailleurs bon d'insister sur les actions de formation ; ce qui importe, c'est l'efficacité de la première prise en charge des victimes.