Il faut revoir la manière de travailler avec les associations, mais la façon dont vous le proposez ici pose un vrai problème : selon la rédaction du sous-amendement, il deviendrait obligatoire de les faire participer à l'élaboration des lignes directrices et procédures, alors que certains territoires ne comptent pas d'associations, par exemple. Dans notre rédaction, elles peuvent être associées, et le chef d'établissement devrait y veiller quand elles existent.
Je m'associe à vos remerciements aux associations, nombreuses à conduire à propos du harcèlement scolaire un travail remarquable auquel la présente proposition de loi doit beaucoup.