La confiance du grand public envers les scientifiques s'est considérablement amoindrie depuis la crise sanitaire. Ce n'est pas dû exclusivement au contexte : dans de nombreux laboratoires du CNRS, notamment en sciences humaines et sociales, les dogmes et courants militants gangrènent les travaux au détriment de la rigueur scientifique et des méthodes de réfutabilité. La loi de programmation de la recherche et les décrets qui s'y attachent ont renforcé l'arsenal législatif et réglementaire en faveur de l'intégrité scientifique. Face à cette défiance, elle est une boussole au service des chercheurs et de leur crédibilité. Que comptez-vous faire pour lutter contre ces courants militants et garantir la rigueur scientifique au sein de votre établissement ?