Madame Pezon, vous avez déclaré que la question de la gestion publique ou privée n'était pas l'enjeu principal. Quel est-il selon vous ? Par ailleurs, vous avez indiqué dans un entretien que « les usagers n'ont pas de poids dans le service public de l'eau ». Que préconisez-vous pour rendre la gestion de l'eau plus démocratique ?
Madame Lévy-Vroelant, pouvez-vous nous en dire davantage sur le mode de gestion, dont vous pensez qu'il peut être important ? Que préconisez-vous pour que le droit à l'eau soit effectif ?
Monsieur Barraqué, vous avez déclaré dans une tribune : « il faut relancer positivement la politique de l'eau, qui constitue le cas le plus développé d'application de la démocratie participative de notre pays. » Pouvez-vous développer cette idée ? Quelles sont vos préconisations ?
Monsieur Wittner, que préconisez-vous pour développer une participation citoyenne réelle et efficace dans la gestion et la tarification de l'eau ?
Monsieur Barone, vous avez évoqué vos travaux sur les atteintes aux écosystèmes et sur les affaires judiciaires afférentes. Vous avez ainsi parlé « d'impunité environnementale ». Comment expliquez-vous que les condamnations de ces atteintes restent faibles ? S'agit-il d'une particularité française ?