Monsieur Tréherne a raison quant à l'absence d'impact sur les aquifères profonds. Pour autant, il arrive que des préfectures instaurent des arrêtés complémentaires, comportant trois niveaux d'alerte. Le premier se nomme « vigilance renforcée sécheresse » et induit une baisse de 5 % de l'autorisation de prélèvement. Le deuxième niveau s'intitule « alerte sécheresse » et implique une baisse de 10 à 15 % des prélèvements. Le troisième niveau, dit « alerte renforcée sécheresse » a pour conséquence un abaissement de 20 à 25 % du prélèvement autorisé pour l'industriel, quand bien même l'épisode n'impacte pas la ressource qu'il utilise.