La Générale des eaux a souhaité que le SIAEAG demeure en délégation de service public, refusant de changer de mode de gestion. Or pour nous, il était impératif pour avancer de créer un mode de gestion par le biais de marchés publics, qui étaient mieux organisés que la DSP.
La Générale des eaux continuait d'encaisser et de se rémunérer, jusqu'au moment où j'ai souhaité y mettre fin. J'ai alerté le sous-préfet de Pointe-à-Pitre.