Notre rôle ne s'étend pas à la préfiguration du SMO. Au mieux, nous pourrions assurer, via nos experts, un appui aux collectivités et les conseiller sur les plans techniques, voire financier.
Si l'État nous le demande, nous examinerons les outils mobilisables pour répondre aux différents enjeux.
L'AFD constitue, en tant que telle, un outil assez souple, capable de s'adapter. Nous restons ouverts aux discussions avec le ministère de l'outre-mer. Nous ne demandons qu'à mettre en œuvre les outils dont le système de l'eau aura besoin pour fonctionner, sous réserve de ne pas prendre de risques que nous reprocherait l'ACPR.