La police de l'eau se répartit entre plusieurs acteurs, dont l'office français de la biodiversité (OFB). La DEAL n'emploie que 2 ou 3 agents, qui ne procèdent pas tant à des contrôles sur le terrain qu'à l'examen de dossiers d'investissement.
L'OFB, dont les agents sur le terrain s'occupent de l'eau ainsi que de l'environnement et de la biodiversité, emploie en principe 9 ou 10 personnes à des missions de police. Conscient des besoins en Guadeloupe, l'OFB procède en ce moment même à des recrutements pour compléter ses effectifs, réduits pour l'heure à 4 agents. Les moindres départs posent une difficulté, car il faut au moins six mois pour former ces inspecteurs de l'environnement dotés de pouvoirs de police renforcés.