La création du SMO soulève d'autres problèmes encore. Elle implique la création d'un opérateur unique, par un travail d'architecture technique, budgétaire, financière et comptable. Comme vous l'avez souligné, à cela s'ajoute un travail sur les ressources humaines et les dettes.
Les préfigurateurs doivent toutefois s'occuper des dettes bancaires qui reviendront au SMO et non des dettes fournisseurs.
Un travail en cours au sein des EPCI et chez les opérateurs vise à améliorer leur connaissance, pour l'heure hétérogène, de leurs salariés. Chaque opérateur concerné pourrait, grâce à un appui financé par l'État, mettre en place un plan de départ volontaire en deux étapes, dont la première se déroulerait avant la création du SMO, le 1er septembre. Le maintien de certaines compétences parmi le personnel pendant la phase de transition relève d'une nécessité.