Je n'ai pas les dates en tête. Grâce à ma participation, j'ai compris les agissements, ce qui m'a conduit à la révolte.
La CCSPL compte cinq personnalités et huit membres du SIAEAG. Si nous émettions un avis défavorable, le comité directeur du syndicat, qui siégeait une heure après nous, passait outre. La CCSPL était inutile. Nous restions sur place de 10 heures à 13 heures, puis nous avions le déjeuner chez Esperat, aux Abymes, à La Bousse ou au Rosini au Gosier. Nous mangions de 14 heures à 23 heures.
Nous émettions des avis défavorables. À cette époque, M. Hernandez s'opposait à nous et défendait la Générale des eaux, où il avait fait embaucher sa fille. Quand il créait la Journées de l'eau ou des cérémonies, ces institutions apportaient des cartons de champagne, de petits fours. Le SIAEAG dispose d'un dépôt pour stocker des boissons et des cartons de champagne, de frigos toujours remplis.
Un élu, vice-président du SIAEAG, a aussi déposé plainte contre M. Hernandez, qui lui avait demandé de signer un chèque de 8 000 euros. Il a refusé et a été mis dehors.