Cap Excellence me paraît la collectivité la mieux outillée en matière d'ingénierie, du fait des experts dont elle dispose. Je ne pense pas que les dirigeants de Cap Excellence aient défendu un intérêt contraire à la collectivité, puisque l'eau est un bien public. Je crois sincèrement qu'ils sont parvenus avec la Générale des eaux à un accord d'où tous sortaient gagnants.
La décision leur appartenait en tout cas. Ce n'est pas à moi d'en juger. Je juge simplement qu'elle nous a permis de reprendre la main sur la gestion de l'eau et d'avancer. Si j'avais eu la moindre responsabilité dans cet accord, j'aurais défendu l'intérêt public. Si, jusqu'ici, cet accord n'a pas soulevé de problème, c'est que les deux parties y ont trouvé leur compte.
La clause de non-poursuite sur laquelle vous insistez n'est pas une première du genre. N'importe quel citoyen avait l'opportunité de la critiquer, puisque tous les citoyens ont la possibilité de critiquer les délibérations du conseil d'une communauté d'agglomération.