Je reviens sur la question des cartes Vitale actives, mais dans un contexte de développement du tiers-payant généralisé, avec une virtualisation des échanges. A-t-on la capacité intrinsèque, aujourd'hui, de surveiller une éventuelle surconsommation ou surtout une éventuelle surfacturation ? On arrive quelquefois à détecter des surfacturations énormes, mais a-t-on la capacité de surveiller cela de façon fine ? La e-carte Vitale que vous mettez en place peut-elle éventuellement pallier ce problème ? Les niveaux de sécurité sont-ils suffisants pour éviter la surfacturation, voire la surconsommation dans certaines pratiques ?