Il a racketté un garagiste quelques jours avant le meurtre de Mme Sarah Halimi. Il était alors violent, mais précis dans ses propos. Rien ne laissait penser qu'il avait un problème psychiatrique particulier. La gardienne de l'immeuble témoigne qu'il faisait peur aux locataires, mais rien de plus. Dans différents cas similaires, le patient est présenté à la cour d'assises et a purgé une peine. Vous étiez tous certains de vos diagnostics.