Le procureur de la République le savait puisque le président du consistoire m'en a informé à la suite d'un long entretien qu'ils ont eu. Le parquet savait que la femme était une juive pratiquante ; toutes les auditions du lendemain rapportaient qu'elle était juive en raison de sa pratique du shabbat. La menorah, et la Torah sont des éléments qui sont apparus plus tard, mais dans un contexte terroriste, djihadiste et antisémite, ce dernier élément aurait pu être retenu. Cela n'a pas été le cas.