Vous développez une théorie où le juge devient propriétaire de son contentieux et où l'on retire à la hiérarchie la capacité de l'évaluer. Or, la justice est un service public, qui suppose de s'adapter à des situations évolutives. On rend la justice au nom du peuple, mais, concrètement, pour des citoyens. N'avez-vous pas le sentiment de confondre indépendance et autonomie ?