Vous parliez, là encore à juste titre, de territorialisation de l'action judiciaire. Un premier effort a été consenti avec la loi du 23 mars 2019, mais celle-ci n'est pas allée jusqu'au bout du processus. La réorganisation des cours d'appel aurait-elle dû aller plus loin ? Fallait-il les faire coller davantage à l'organisation administrative française, ou est-ce encore autre chose ?