Chantal Arens, première présidente de la Cour de cassation :
Nous l'avons fait pour un juge de Monaco. Nous pouvons rendre des avis et nous autosaisir si nous constatons un problème majeur. Cela a été fait sous le précédent mandat. Mais de mon point de vue, c'est quand même mieux quand l'État le reconnaît.