Je me crois dans l'obligation d'intervenir. La commission d'enquête n'est en aucune façon une commission où chaque parlementaire, quel que soit son statut, vient demander des éléments sur les dossiers en cours. Madame Champrenault, vous répondrez comme vous souhaiterez le faire, mais j'appelle l'attention sur le cadre, que forment le respect de la séparation des pouvoirs et l'absence de discussion sur les enquêtes en cours, qui limite notre action, et que nous avons rappelé à de multiples reprises. À ce titre, je trouve particulièrement discourtoise la question que le président vient de poser.