J'ai bien noté que plusieurs dizaines d'avocats et de magistrats auraient été suivis dans cette affaire.
Il s'agit de fadettes demandées dans le cadre d'enquêtes judiciaires. Comme vous le savez, deux types de techniques peuvent être utilisés. Certaines n'entrent pas dans le cadre judiciaire, mais le système est extrêmement contrôlé. Dans ce contexte, cette opération ne serait jamais passée. Je le vois d'expérience dans les demandes faites par nos services, qui sont visées par le Premier ministre et soumises à une commission chargée de contrôler attentivement ces sujets. En l'occurrence, il ne s'agit pas du tout du même dispositif.
Votre question est plus politique, mais ne relève pas du ministère de l'intérieur. Il faut protéger certaines professions, par nature, mais cela ne les exonère de rien en matière de respect du droit.