C'est moi qui ai averti Christian Eckert, secrétaire d'État chargé du budget et des comptes publics, que la réforme allait augmenter la pression fiscale de 15 à 20 % pour les commerces de centre-ville et la réduire de 20 à 25 % pour les grandes surfaces de la périphérie. Personne n'avait vu cela, même au sein de son administration et de son cabinet ! C'est grâce à cette intervention que l'application de la réforme a été différée.