J'ai pu réaliser ce film grâce à l'intervention et au soutien technique de la gendarmerie et de l'armée. J'étais accompagné sur les tournages en forêt par le colonel Florian Villalonga. J'ai également bénéficié de l'aide du parc amazonien de Guyane. Tout cela m'a permis d'évoluer au sein de cet immense et magnifique territoire, de me familiariser avec ses populations, afin de comprendre leur mode de vie et leur place dans une biodiversité désormais en danger.
Depuis 2014, les choses ont évolué. Le nerf de la guerre s'est déplacé d'Oiapoque, au Brésil, au Suriname, notamment, en raison de la présence et de l'aide de la Chine.