Bien évidemment, les services du Premier ministre interviendront s'il leur paraît nécessaire de demander au ministère concerné de relancer certaines coopérations.
Si des accords avaient été passés avec le Surinam auparavant, les premières véritables signatures obtenues sur de tels accords datent du 15 mars 2021. Dès lors que ces signatures portent sur le départage des frontières, un protocole de gestion commune du Maroni, et un protocole de coopération judiciaire, il est légitime de croire que ces accords se traduiront par une plus grande efficacité sur le terrain désormais.
La situation sanitaire au Brésil explique sans doute que la gestion de l'orpaillage illégal en Guyane ne figure pas parmi ses priorités actuellement. Nous continuerons néanmoins à veiller à ce que les accords signés avec lui restent appliqués.