Nous savons en effet que cette filière de sortie de l'or de Guyane existe, même si elle reste totalement occulte, et très difficile à caractériser. Il reviendrait à la douane, donc au ministère de l'économie, de la finance et de la relance de traiter ce sujet. Peut-être faudrait-il encore renforcer les contrôles et la pression exercée sur les bijoutiers et autres professionnels « indélicats ». Agir ainsi contraindrait les orpailleurs illégaux à passer l'or par d'autres pays, où la réglementation ne sera pas la même, mais tout ce qui pourra être mis en œuvre pour leur compliquer la tâche sera source de progrès.