Nous apportons un appui méthodologique à cet organisme, et il ressort de ses travaux que le nombre de sites illégaux est resté à peu près stable, à un niveau relativement élevé, au cours des trois ou quatre dernières années. L'impact sur l'environnement reste donc très fort en Guyane, puisqu'un tiers de ces chantiers se situe dans le parc amazonien.